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  1. Après plusieurs invitations que j’avais décliné, j’acceptais finalement d’aller voir l’ étang.
    Il se trouvait dans un coin perdu au bout de nulle part. Pour y accéder aucun plan, si ce n’est que l’on m’avait dit que je serai sur le bon chemin à la sortie du village. Au bout du dit village, je traversais un petit sous-bois et en l’empruntant je me trouvais sous un feuillage si épais que le soleil était caché.
    Le coin était charmant et plutôt isolé, tant bien que de la route principale, il était difficile de deviner l’existence d’un tel lieu.
    L’étang ne dépassait pas 4 hectares à lui seul, mais les prairies et les bois qui l’entouraient représentaient une superficie d’une douzaines d’hectares.
    Je restais un moment près de l’étang, à le regarder en espérant que d’autres personnes viennent le visiter, car il serait dommage que cette belle nature sauvage reste abandonnée.

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