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  1. En arrivant à Venise, il me semblait tout naturel de profiter visuellement de tout ce que d’autres que moi avaient bâti.
    Le détachement d’un ailleurs qui ne me convenait plus, je le devait à l’envie de rester ici, le regard contemplatif devant tant de beauté.
    Je languissais de faire ricocher mes pas sur les pavés de Venise et de visiter tous ses palais anciens.
    Assis dans le petit bateau à moteur, j’observais l’hélice qui battait l’eau de la lagune comme pour lui faire reprendre de l’oxygène.
    Désormais j’allais respirer Venise, la ville la plus brillante du 19èm siècle et qui aujourd’hui allait me livrer tous ses trésors d’architecture.

    Michèle JOURDAN

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